Turbinolienne
Bienvenue dans la page consacré au projet Turbinolienne.
Ce concept inédit à pour vocation de produire de l'énergie avec l'aide du vent ou de l'eau.
A l'initiative du projet : Slim Mazari.
Projet de construction d'une éolienne horizontale. D'après nos calculs, sa puissance pourrait être largement supérieure aux éoliennes traditionnelles.
Ce projet est en attente d'aide de la part de contributeurs qui pourraient nous aider à réaliser un prototype.
Pour me contacter, rendez-vous sur la https://www.facebook.com/pages/Turbinoliennes/582693685093598?ref=hl
Vue d'ensemble
Vidéo
Voir ici la première vidéo mettant en scène une turbinolienne.
Historique du projet
Sur le chantier d’extension du lycée technique de Provins, sur une grue Liebherr, et à cause d’une coupure inopinée du courant, le comportement de la grue m’a démontré la puissance du vent sur la flèche de 45 mètres, avec une benne à béton de 2 tonnes située à 35 mètres et un vent d’environ 35 km/h : ma flèche a été emportée et traînée avec la benne sur plusieurs mètres avant que je puisse rétablir la situation.
Ce phénomène m’a fait penser à utiliser une grue pour prendre le vent et non lui résister. C’est ainsi que le projet des Turbinoliennes a pris forme.
Fonctionnement
Ma volonté fut d’améliorer les capacités de production tout en croisant les contraintes en symbiose (Hommes, Nature, Machines). Vingt-quatre mois de recherche dans tous les domaines de l’énergie renouvelable me permettent de constater que les éoliennes du futur ne peuvent être qu’horizontales et leur mécanisme, simple et éprouvé.
La possibilité de recycler les flèches et contre flèches des grues réformées peut être envisagée, ce qui réduirait considérablement le coup de fabrication. Ou au contraire, fabriquer des flèches profilées pour les TURBINOLIENNES.
A chaque bout de flèche, une aile équilibrée grâce à un contrepoids, et réglée par trois vérins, garantit une ouverture et une fermeture douces, qui suit la pression du vent.
Tous les points de frictions sur la couronne sont équipés de « fero-nano-fluide » et d’aimants néodymes ou blitzmut pour les dynamos. Nous transmettrons une induction rotative sur la couronne qui repose sur un bain de « fero-nano-fluide ».
Quant aux générateurs , ils peux, en avoir, une ou plusieurs grandes suspendues en sous-sol, avec la cage d’aimants tournant dans le sens contraire de la bobine. Cette disposition devrait accroître considérablement la puissance du champ électromagnétique. Les brames, (sur les flèches d'élans) doivent être lourdes et inaltérables. Elles seront synchro-mobiles sur les trois flèches d’élan. Par grand vent, elles se rétractent et, par vent faible, elles s’écartent du point central jusqu’aux butées, sans dépasser la ligne de force. Les flèches d’élans peuvent être plus nombreuses 5, 7, 9, 21. La vitesse de rotation de l’ensemble de la structure permet l’équilibrage sur son axe central.
Les cônes d’élans souples et rétractables, sont garants d’une continuité dans la production des forces nécessaires au bon fonctionnement des turbinoliennes.
Sur l’axe central le ou les groupes d’électricité sont couplés à des cadrans trochoïdaux débrayables, afin de permettre une maintenance simple et sans risque.
La hauteur de l’ensemble, perroquet compris, peut varier. L’étude d’effet de site permet de la définir aux mieux du confort visuel et sonore des habitants de proximité.
L’utilisation de techniques novatrices, induction des fero-nano-fluides, mécanique des fluides, batteries, thermologie, aérodynamique, hydrodynamique, chimie biomoléculaire, auto-maintenance, aidés par l’électronique, l’informatique et la robotique, font partie de cette invention.
Elles suppriment quasiment tous les bruits liés aux anciennes éoliennes, trop hautes, trop bruyantes et trop coûteuses à l’implantation comme à l’entretien.
Une Turbinolienne équivaut à plusieurs éoliennes traditionnelles .
Les Turbinoliennes sont conçues pour apporter l’énergie à tous, à moindre frais et sans émission de CO2.
Elles s’inscrivent dans l’évolution technologique du développement durable.
La stratégie que nous souhaitons adopter est un fonctionnement sans arrêt du système. Pour cela, il faut choisir des matériaux durables demandant un minimum de maintenance.
Pour fabriquer les TURBINOLIENNES, la recherche dans de nombreux domaines est impérative.
1) Recherche en biochimie moléculaire pour les éléments qui la constituent.
2) [[Recherche en mécanique, « engrenages tronchoïdaux, réducteur accélérateur».
3) Recherche en mécanique des fluides.
4) Recherche en électronique, champs électromagnétiques, induction.
5) Recherche en informatique et robotique, pour les programmes de pilotage et les systèmes de sécurité.
6) Recherche en nanotechnologie : fero-nano-fluides pour supprimer les frottements , un bain de mercure serais parfais pour la couronne. « néodyme, blitzmut, nano quarks, pour de nouvelles dynamos et des batteries plus propres et plus puissantes.
7) Recherche en aéronautique et hydrodynamique : profilage des ailes, haubans et cône.
8) Recherche en thermologie.
9) Recherche en robotique filoguidée.
10) Recherche en auto-maintenance et autoréparation.
Nous avons ici quelques exemples des recherches que nous pouvons entreprendre, en ce qui concerne les « terriennes ».
Performances
Je compte sur vous pour m'aider à les calculer grâce à un prototype. Merci aux internautes soucieux de l'environnement. ( Dassault systéme a un Programme (KATIA) de modélisation avec les contraintes de force se qui nous éviteraient un proto.)Merci.